Depuis l’occupation du CCN Montpellier

Depuis l’occupation du CCN Montpellier

Depuis vendredi 12 mars dernier, ICI centre chorégraphique national, à Montpellier est occupée. Cette action, organisée dans la foulée d’une assemblée générale et d’un accueil bienveillant de la part de la direction, forme le début d’un mouvement contagieux. En effet, plusieurs autres lieux culturels sont 

Love Train 2020, dans le temps

Love Train 2020, dans le temps

Quand la salle est plongée, tout à coup, dans le noir, le plateau de LOVE TRAIN 2020 s’anime. Création donnée à la 40ème édition bis de Montpellier Danse, la pièce d’Emanuel Gat se dévoile au fond de la cage de scène, par un clair obscur 

Cherish Menzo, exaltante Video Vixen

Cherish Menzo, exaltante Video Vixen

Un plateau minimaliste et des jeux de lumière obscurs. Devant, une masse argentée, au loin, un micro arc-bouté à son fil et posé à même le sol. Qu’est donc Jezebel ? Pour sa 20ème édition, le Festival Actoral recevait la danseuse et chorégraphe néerlandaise Cherish Menzo, 

Farm Fatale, fantasy politico rurale

Farm Fatale, fantasy politico rurale

Avec son plateau dépouillé et ses épouvantails sensibles, Farm Fatale trouve un pendant esthétique à la conscience écologique. Programmée au théâtre de La Criée, dans le cadre de la 20ème édition du festival Actoral, la pièce de Philippe Quesne emprunte bravement au conte philosophique et 

Ouwitting the Devil : Akram Khan laisse désormais le diable en coulisses

Ouwitting the Devil : Akram Khan laisse désormais le diable en coulisses

Dans la cour d’honneur du Palais des Papes, Outwitting the Devil s’était présenté sous une forme audacieuse, tranchée, d’un pessimisme dévorant. Akram Khan disait alors que le genre humain incarnait le diable. Il y avait là un certain nihilisme. Les 6 danseurs au plateau enchaînaient 

Avec Outwitting the Devil, Akram Khan plonge la Cour d’Honneur dans une claire obscurité

Avec Outwitting the Devil, Akram Khan plonge la Cour d’Honneur dans une claire obscurité

Une cour d’honneur comble attendait « Outwitting the Devil » d’Akram Khan, pour la première française donnée le 18 juillet dernier lors de la 73ème édition du festival d’Avignon. Invité pour la première fois, le chorégraphe anglais d’origine bangladaise a emmené les 2000 spectateurs dans un voyage 

Multiple-s compte juste

Multiple-s compte juste

 Contre le mur brut de la cour minérale de l’université d’Avignon, la nuit tombe sur un plateau éclairé par deux portant de néons. Dans Multiple-s, pièce de Salia Sanou très attendue au Festival d’Avignon, trois duos, ou face-à-face sont annoncés. Enracinement dans la terre natale 

Architecture rebâtit l’histoire contemporaine

Architecture rebâtit l’histoire contemporaine

Sur la scène de la cour d’honneur, nuit caniculaire au Festival d’Avignon, un mobilier de style Bierdermeir, épars, ça et là en îlots, accueille une famille autrichienne sonnée par la fin de la Belle Epoque et l’avènement d’un siècle ouvert par la Première Guerre Mondiale. 

Vent frais sur la Cerisaie de Mc Burney

Vent frais sur la Cerisaie de Mc Burney

Une Cerisaie sous titrée en français, afin de suivre les comédiens néerlandais de la troupe d’Ivo Van Hove. Il fallait oser. Simon McBurney l’a fait. Le metteur en scène anglais adapte la pièce de Tchekhov, avec une savante dose de vent frais, présentée en première 

Christian Rizzo, par les maisons hantées

Christian Rizzo, par les maisons hantées

Au commencement, c’est un plateau au sol immaculé, seulement zébré par les ombres d’une voûte de néons suspendus, en toiture mirifique. Un danseur portant un masque, se déplace précautionneusement de part en part, dans le silence, puis à travers des sons d’objets rebondissant au sol